En décembre 2016 des mentors de France et de Tunisie se sont retrouvés pour mettre au point un mentorat qui bénéficie à des entrepreneurs devant être performants sur les deux continents.
A quand les mentorats pluriculturels en missiologie (et dans la vie des missionnaires)?
Les questions que je me pose:
- Qu'en est-il d'un accompagnement particulier lors du passage par la "vallée de la mort", reconnu comme un défi dans les affaires mais pas en missiologie?
- Vers qui aller pour progresser dans le développement personnel ou professionnel lorsqu'on vit dans une région dont les acteurs ont d'autres attentes que celles du pays qui forme et envoit?
- Quelles expertises transculturelles pourraient être mobilisées pour accompagner le missionnaire?
Pour comprendre d'où me viennent ces questions, veuillez lire l'extrait qui suit de l'article de Radio Express FM:
L'objectif étant d'intégrer les mentorés dans l'écosystème français et tunisiens pour réussir leurs entreprises durant la période critique de la vie d'une start-up dont les trois premiers années considérées la Vallée de la mort pour une start-up.
L'aide fournie par le tuteur est généralement bénévole et apportée dans le cadre d'une relation professionnelle, en dehors de la ligne hiérarchique, répondant aux besoins particuliers du tuteuré en fonction d'objectifs liés à son développement personnel ou professionnel.
Ce programme vise à mobiliser l'expertise des diasporas scientifiques, techniques et de développement d'affaires en France pour accompagner la création d'entreprises innovantes et favoriser le transfert de technologies et d'innovation dans les pays du bassin Sud méditerranéen.