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"L'entrée au secondaire ; vous rappelez-vous la vôtre? Pour ma part, elle a été marquante! Le secondaire est si impressionnant pour un jeune élève de première secondaire, mais c'est surtout effrayant! On se sent si seul et laissé à nous-même..."
A Sherbrooke, Canada, il a été décidé de rendre cette marche un peu moins difficile à franchir avec son programme de mentorat.
Je vois bien des personnes qui, leurs études terminées, ne trouvent pas de place dans les ministères chrétiens existants.
Cela est d'autant plus surprenant que les églises et oeuvres cherchent des collaborateurs.
Une problématique semblable (chômeurs d'un côté, et places vacantes de l'autre) se présente dans le monde des affaires. Dans la région Marseille Provence, les choses bougent pour trouver des solutions.
"Le mentorat c'est en effet cette façon de mettre en présence un professionnel,...
«Si le coaching contribue au savoir-faire, le mentorat, lui, est d’une grande richesse pour le savoir-être, a d’ailleurs témoigné Évelyne Robert, qui a fait appel au mentorat avant d’elle-même devenir mentor. Ça nous permet de réfléchir à qui nous sommes, et à ce que nous voulons accomplir dans la vie. On offre, on reçoit, on partage… Ça donne lieu à des échanges extraordinaires.»
Un programme de mentorat permettant aux chargés de cours de bénéficier du soutien d’un pair a été inauguré, à la rentrée, à l’Université de Montréal.
Ce programme a été mis sur pied et est géré par le Syndicat des chargées et chargés de cours de l’UdeM, en collaboration avec l’Université. Son objectif est de favoriser une meilleure maîtrise de la profession d’enseignant chez les nouveaux chargés de cours et de faciliter leur intégration.
«Il s’agit également de contribuer à la diminution du stress et à l’augmentation du sentiment de bien-être au travail, et d’accroître la confiance et l’estime de soi des nouveaux enseignants», explique Guy Rolland, chargé de cours à l’École de relations industrielles et initiateur du programme.